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Biographie, Bart Jean.

 

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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Commentaires

  • Emmanuel CARLI

    1 Emmanuel CARLI Le 13/11/2022

    Bonjour,

    je pense qu'il s'agit d'une erreur. J'ai cherché pendant 10 ans et la conclusion à laquelle j'arrive est que Marie Petronille Bart est la fille de Charles Bart qui est un cousin issu de germain de Jean Bart.

    Mon aïeul Nicolas Ozoux était mariée à Marie Pétronille Baert avec laquelle ils ont eu Dominique Ozoux.

    Bien à vous,

    Emmanuel
  • DELER Thierry

    2 DELER Thierry Le 09/01/2021

    Bonjour,
    Sur plusieurs site de généalogie il est attribué à Jean Bart une fille nommée Pétronille née en 1676, qui se serait mariée avec un Ozoux.
    Pouvez-vous m'éclairez sur ce point.
    Bien cordialement
    Therry DELER

    Voici le texte attribué à la famille Ozoux :
    Georges Nicolas OZOUX, Magny-en-Vexin, 12 Novembre 1999 "Je reprends ici le texte tel que l'avait noté mon Grand-Père Gabriel Jules Georges OZOUX dans son cahier de notes de l'arbre généalogique des OZOUX, ce texte ayant été rédigé à l'origine par Dominique OZOUX troisième du nom en 1937, certaines informations restant à être vérifiées"

    Il m'a paru intéressant, mes chers fils, de dresser pour vous un tableau généalogique de la famille dont nous portons le nom; mais il est nécessaire de le faire précéder de quelques observations importantes qui vous en faciliteront la lecture. A défaut de pouvoir établir avec certitude quel fut le premier du nom, et à quelle époque il vivait, tout ce que nous connaissions de nos ancêtres était de tradition et cette tradition concernait deux ordres de faits :

    1er. Le mariage d'un OZOUX avec la fille aînée de l'illustre marin Jean BART et de sa première femme Nicole GUTTIERE

    2è. L'anoblissement d'un OZOUX au service de JACQUES II pendant l'exil de ce prince à Saint Germain en Laye (1688-1702). Disons de suite que le premier fait s'est trouve confirmé de la manière que je vais indiquer plus loin. Quant au second, si rien ne l'établit d'une façon certaine, rien non plus n'est venu l'infirmer. Voici, à titre documentaire, la tradition telle que mon père et ses soeurs, mes tantes de la Ménardière et de Cacqueray me l'ont donnée.

    Nous descendons de Jean Bart par sa fille Anne Pétronille qui a épousé un OZOUX vers 1692 et voici dans quelles circonstances a eu lieu ce mariage : Lorsque JACQUES II roi d'Angleterre et d'Ecosse fut détrôné par son beau-frère GUILLAUME D'ORANGE, ce monarque vint se réfugier en France où LOUIS XIV lui offrat l'hospitalité et lui donnait pour résidence le château de St Germain en Laye.

    JACQUES II s'installa dans cette superbe résidence en 1688 avec sa Cour et ses fidèles Ecossais. Or il advint que pendant la guerre de la ligue d'Augsbourg, ligue à laquelle les Anglais venaient d'adhérer, le corsaire Jean BART ayant remporté une grande victoire sur la flotte anglaise dont il avait détruit plusieurs vaisseaux et capturé plusieurs autres, LOUIS XIV le fit venir à Versailles, le présenta à la Cour et lui donna une flotte avec le titre mérité d'Amiral. Bientôt, le bruit des exploits de Jean BART et de sa réception a Versailles étant parvenu à la cour de JACQUES II, l'illustre Exilé désira connaître le vainqueur des Anglais. Déférant à ce désir, Jean BART se rendit alors à St Germain.

    " A cette même époque, un OZOUX (Pierre Auguste) qui avait offert ses services à JACQUES II, occupait une charge à sa Cour et naturellement il se trouva en relation avec 1'hôte momentané du monarque Anglais. Or encore, la fille de Jean BART qui, incognito, accompagnait son père, était venue aussi à St Germain. Pierre Auguste la vit souvent pendant le séjour de Jean BART et fut charmé par les qualités qu'il découvrait en elle. Il demanda et obtint la main d'Anne Pétronille poux son fils Nicolas, commis aux Aides à Beauvais. Enfin, c'est ce même OZOUX Pierre Auguste que, suivant la tradition, JACQUES II aurait anobli, en récompense de ses loyaux services. Afin d'avoir des renseignements aussi précis que possible concernant l'origine de la famille, mon cousin germain, Welcome OZOUX, Bâtonnier des Avocats de Bordeaux, a fait faire des recherches à PARIS et en Seine et Oise. Mais entre temps, sa mort étant survenue subitement les a fait interrompre et elles n'ont pu être reprises depuis. Cependant parmi ceux recueillis quelques-uns ont apportés plusieurs précisions au sujet du mariage.

    En effet, dans la paroisse St Nicolas des Champs, on trouva un acte curial concernant le mariage OZOUX François avec Gabrielle DARU, de la dite paroisse. Or, sur cet acte, Nicolas OZOUX, père de François, s'intitule Commis aux Aides habitant Gentilly et déclare que sa femme Anne Pétronille BART est morte. Ainsi donc, de la déclaration de Nicolas consignée dans cet acte curial, il ressort bien que le fait du mariage OZOUX-BART est bien une réalité exactement transmise par la tradition. On a également découvert que Nicolas possédait une maison à St Germain en Laye. Il est très probable qu'il avait hérité cette maison de son père, soit que celui-ci l'ait achetée durant son séjour à la Cour de JACQUES II, soit que ses parents établis longtemps à St Germain, la lui aient laissée en héritage. Nous allons à présent, du point de départ du mariage de Nicolas et de Anne Pétronille BART et avec les renseignements recueillis, établir le tableau de filiation de la famille.

    Je dois noter dès à présent que jusqu'à La venue à Bourbon de Claude et de Jean-Nicolas, les dates relatives aux naissances, mariages, décès, peuvent n'être pas les dates exactes; elles ont surtout pour but d'établir une filiation chronologiquernent naturelle. Enfin, mes chers fils, j'attire votre attention sur ce fait intéressant poux vous et vos cousins de la branche aînée portant 1e nom d'OZOUX, que vous descendez directement et à la fois des deux frères Claude et Jean-Nicolas, voici comment :

    Votre grand-père Anatole, petit-fils de Claude, a épousé le 27 Décembre 1847, sa cousine issue de germains Adèle OZOUX, petite fille de Jean-Nicolas. J'ajoute encore ceci : vos cousins germains Maurice, Marthe, Yvonne, Lucien et René OZOUX descendent encore directement de Jean Nicolas par leur mère Eléonore VERGOZ fille de Arthur VERGOZ, dont la mère Augustina OZOUX était la troisième des huit filles de Jean-Nicolas.

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